Amandine grand bébé adulte

Catégories : Diaper couple, plusieurs, lesbiennes Diaper girl / Little girl
il y a 9 ans

Amandine est une jeune maman de 27 ans. Elle a deux bambins , Chloé, six ans, et Paul, deux ans et demi, qu'elle élève seul. Son ami et elle se sont séparés il y a environ un an d'un commun accord. Ses deux bambins ne sont pas encore autonomes et portent des couches la nuit, le plus jeune en porte aussi parfois le jour. Amandine travaille dans une agence de voyage et fini souvent à 19h, elle a donc recours a une nounou, Sophie, qu'elle a engagé il y a six mois pour souffler un peu et évider de trimbaler ses bambins d'amis en amis ou de les mettre tout le temps chez ses parents.

Le papa lui est parti en Inde pour son travail et ne peux, pour l'instant, pas s'occuper de ses bambins. La nounou reste donc souvent jusqu'à 20h, heure du coucher des deux petits. Cela fait plusieurs mois qu'elle vit comme ça et tout se passe très bien. Elle aime beaucoup Sophie qui est douce tout en sachant se montrer sévère et qui s'occupe très bien des bambins, qui, par ailleurs, l'adorent. Amandine est épanouit dans son travail et sait se trouver du temps pour elle. Elle est en congé un samedi sur deux et a ses dimanches et ses lundi matin.

Le samedi, elle a tout de même recours à Sophie afin de pouvoir profiter de cette journée pour prendre soin d'elle et se relaxer, le dimanche, c'est la journée qu'elle consacre à ses e n f a n t s.

Ce samedi, elle est en repos, après une grasse matinée, son jogging quotidien et son bain, Amandine décide d'aller faire quelques courses, tâche dont Sophie ne s'occupe pas. Elle prend sa voiture et direction le supermarché du coin. Il faut des crayons de couleurs, de la lessive, des couches de nuit et de jour, une tototte et un autre biberon pour Paul, des fournitures scolaires pour Chloé, de l'alimentaire et de la boisson, beaucoup de boisson. Il fait très chaud en cette journée du 4 septembre.

Elle paie, sort et va poser tout ça à l'arrière de sa voiture, le coffre étant encombré par de grands panneaux publicitaires pour des voyages au Maroc et à Hawaï. Il y a quelques boutiques autour du supermarché et elle décide, après avoir pris un sandwich, qu'elle ferait bien un petit tour. Elle s'arme d'un grand sac avec deux bouteilles d'eau et démarre sa petite expédition shopping. Après avoir trouvé son bonheur : une jolie robe bleu pastel pour elle, des dessous affriolants (elle aimerait retrouver quelqu'un), une petite jupe plissée pour Chloé et une salopette pour Paul, elle remonte dans sa voiture pour rentrer chez elle.

Il y a une quinzaine de kilomètre qui sépare sa maison du centre commercial mais à 16h un samedi elle sait qu'elle en a pour environ une heure. Ca ne la dérange pas, elle en profite toujours pour écouter de la musique, penser, appeler parfois des copines lorsqu'elle est coincée dans les embouteillages. Mais, ce samedi, elle avait avalé presque deux bouteilles d'eau, car elle avait très chaud, et n'était pas allé aux toilettes avant de repartir. Elle n'avait pas envie et savait, de toute façon se retenir assez longtemps car il fallait souvent qu'elle le fasse, assise à son bureau face à un client demandant des détails pendant des heures sur le vol qu'il allait emprunter, le lieu où il allait, etc.

Ainsi, quand elle commence à sentir qu'elle a envie d'aller aux toilettes après seulement deux ou trois kilomètres parcourus, elle ne s'inquiète pas et continue à faire comme si de rien n'était. Au bout de trente minutes environ et après avoir rebu un peu, l'envie se fait plus pressante, elle commence à se tortiller un peu sur son siège et s'en veut d'avoir repris de l'eau. Impossible de sortir de sa voiture pour aller faire pipi dehors car ce n'est pas totalement bloqué, ça avance un peu.

Plus qu'une vingtaine de minutes avant d'arriver chez elle, la route est, à présent, dégagée, elle est soulagée car elle commence à avoir mal dans le bas-ventre. Un feu rouge, elle s'énerve un peu et laisse échapper, sans le vouloir, un petit jet de pipi dans sa culotte, elle met une main entre ses cuisses, ça n'a pas mouillé son pantalon ; Le feu passe enfin au vert mais il y a à nouveau un embouteillage. Elle ne sait plus quoi faire, elle sent qu'elle ne va pas tarder à se laisser aller sur son siège de voiture. Un autre petit jet, là elle constate que ses dessous sont mouillés et une petite tâche sombre est apparu à son entrejambe.

Elle pense soudain aux couches de nuit de Chloé, elle prend le paquet à l'arrière, l'ouvre et en sort une. Elle baisse son pantalon, sans faire attention au fait qu'on puisse la voir, et glisse le change sous ses fesses, elle garde sa culotte déjà trempée, et le rabat sur le devant. Elle n'attache pas les adhésifs, ça n'est pas utile, et puis elle pense que ça serait trop juste. Elle remonte son pantalon. Elle se retient encore en se disant que c'est « juste au cas où » mais elle ressent un léger plaisir à sentir la ouate douce sous ses fesses humides de pipi.

La circulation reprend, elle est soulagée. Arrivée chez elle, elle se gare, et, là, elle ressent une forte douleur dans le bas-ventre, elle regarde autour d'elle, comme si quelqu'un pouvait remarquer son état, et laisse échapper quelques gouttes d'urine. Quelle sensation, pense t'elle et, volontairement, elle mouille encore un peu la couche qu'elle porte. Puis, sans le vouloir, elle laisse tout échapper et inonde son change, une douce chaleur l'envahit. Par réflexe, elle porte une main à son entrejambe et quelques larmes coulent le long de ses joues. Son pantalon est sec, hormis la petite tâche que l'on ne voit plus. La couche est plus lourde mais ça ne se voit pas au travers de ses vêtements. Elle se sent honteuse et troublée mais ravale ses larmes.

Elle descend les paquets et rentre chez elle où ses e n f a n t s et Sophie l'attendent. Ses e n f a n t s lui saute au cou et commencent à se jeter avec envie sur ce qui leur appartient. Paul prend la tototte et commence à jouer avec, Amandine lui retire pour la laver, et Chloé prend ses cahiers. Sophie, elle, prend les paquets de couches afin de les ranger dans les chambres respectives des e n f a n t s :

  • Mais... il est ouvert celui-là !

  • Ah oui, c'est normal. J'avais vu qu'il était ouvert et, arrivée à la caisse, j'ai fait mine de m'en rendre compte alors la caissière m'a fait une réduction de 5% sur ce paquet, ce qui n'est pas négligeable.

  • Vous êtes maligne, dit Sophie en souriant.

  • Je sais Sophie, répondit Amandine en riant, le rose aux joues dû à la honte et au plaisir plutôt qu'au rire.

A 19h Sophie partit, car elle s'en allait une heure plus tôt le samedi et laissait le soin à Amandine de s'occuper de ses e n f a n t s. Elle les fit manger, les prépara pour la nuit et les laissa jouer jusqu'à 21 heures, heure à laquelle elle les coucha.

Dès que les e n f a n t s furent au lit, elle alla dans la salle de bain pour se déshabiller. Elle enleva doucement son haut, se retrouvant seins nus, puis son pantalon qu'elle mis au sale. La tâche ne se voyait plus car, Sophie s'occupant de son linge, elle n'aurait pas voulu que celle-ci tombe sur un pantalon à elle sentant l'urine. Et là, en enlevant son pantalon, elle se souvint du sous- vêtement peu banal qu'elle portait, elle tint l'avant avec une de ses mains et l'arrière avec l'autre pour éviter qu'il ne réveille les e n f a n t s en tombant sur le sol.

Ses yeux se portèrent sur la couche et elle vit que les nounours rose était de couleur verte signe qu'elle était mouillée. Puis elle leva la tête et vit son reflet dans le miroir. Elle n'avait pas songé à l'allure qu'elle avait, elle s'observa longtemps dans cet accoutrement et, curieusement, se trouva mignonne, chose à laquelle elle n'aurait jamais pensé, d'ailleurs elle se senti mal à l'aise de se trouver jolie avec une couche lourde de pipi sur ses fesses à 27 ans.

Elle l'enleva et la mis dans la poubelle réservée aux couches. Elle savait que ça ne se verrait pas, car il faut parfois changer Chloé deux à trois fois en une nuit. Elle fit ensuite glisser sa petite culotte imbibée d'urine jusqu'à ses pieds et la camoufla dans la couche qu'elle venait d'ôter et de jeter. Elle prit une douche en repensant à cette petite aventure sans savoir quoi en penser.

Elle se met en pyjama puis va regarder la télévision sans être vraiment attentive. Elle se couche en ce concentrant sur ce qu'elle allait faire avec ses e n f a n t s le lendemain.

Amandine se lève à 7h, va chercher les croissants, prépare le petit déjeuner et déjà, vers 8h, Paul et Chloé gambadent dans la maison en riant. Elle les installe pour déjeuner. Il reste un peu plus longtemps en couche le dimanche matin. Elle décide qu'aujourd'hui ils iront à la mer. Les e n f a n t s sont ravis. Après le petit déjeuner, elle lave Paul, Chloé commence à se débrouiller seule. Elle lange Paul et dit à Chloé d'aller aux toilettes, ce qu'elle fait fièrement. Ils passent une bonne journée. Amandine s'arrête souvent dans des toilettes pour que Chloé puisse y aller, pour changer Paul mais elle y va aussi très souvent en songeant à ce qui s'est passé la veille. Il lui semble d'ailleurs avoir rêvé tant ça lui semble impensable. La journée se passa très bien.

Le soir, elle couche Paul et Chloé, leur lit une histoire et prend ensuite un livre pour elle. Elle va s'installer sur le canapé avec une tisane. Le téléphone sonne, elle court pour décrocher de peur que ça n'éveille les e n f a n t s. C'est une de ses très bonnes amies, elles commencent à discuter. Amandine a un peu envie d'aller aux toilettes mais ça peu attendre, de toute façon, se dit-elle, il n'arrive jamais deux fois la même chose. Elles parlent comme des a d o l e s c e n t es. Sonia, son amie, vient de rencontrer un homme, sujet croustillant, émouvant et drôle, surtout drôle. Elle rie et son amie aussi quand elle l'entend dire : - Arrête ou je vais faire pipi dans ma culotte !

Amandine sait bien que ce n'est pas vrai, que c'est juste une façon de dire qu'on rie trop mais pour elle, c'était plus sérieux, elle sentait les prémisses du pipi culotte venir. Elle monte alors avec le téléphone, elle ne pense pas à raccrocher, elle ne le fait jamais : - Attends, je vais voir si Chloé dort, j'ai entendu du bruit, chut, rie-t-elle doucement.

Arrivée dans la chambre de Chloé, elle va vers l'armoire et prend un change de nuit bien rangé par Sophie, elle va dans la salle de bain et dit à Sonia d'attendre deux secondes, elle doit changer Chloé. Elle baisse son pantalon et sa culotte, déplie la couche machinalement qui fait un bruit caractéristique, tente d'attacher les adhésifs, elle est assez menue au niveau de la taille et en f o r ç a nt, elle y parvient. Elle s'observe dans le miroir, sa culotte étant un peu grande pour elle, elle la remet par-dessus la couche, ce qui la serre bien et elle remonte son pantalon. Ca lui fait des petites fesses rebondies et une légère bosse sur le devant que seul des yeux d'experts remarqueraient.

  • Ca y est Sonia.

  • T'en a mis du temps à la changer.

  • Oui, désolée, je suis allée aux toilettes après.

  • Ah ok, tu ne tires pas la chasse ?

  • Je ne veux pas réveiller Paul.

  • Faudrait pas qu'il vienne à la maison, parce que ce n'est pas la chasse qui le réveillerait si tu vois ce que je veux dire...

Les deux jeunes femmes repartent dans un fou rire et c'est, une couche aux fesses, qu'Amandine redescend s'installer au salon. La conversation dura encore un bon quart d'heure mais Amandine stoppa la conversation car il y a un film qui l'intéressait et il commençait à 22h30. Sa couche encore sèche, elle se prend une autre tisane et s'installe devant la télé. Son film n'est pas encore commencé et elle a soudain l'envie d'être juste en couche et en maillot.

D'abord parce qu'il fait chaud et ensuite parce qu'elle veut se revoir ainsi vêtue. Elle enlève son pantalon t sa culotte et observe longuement le change dont les jolies nounours sont encore roses. Elle se pense folle d'avoir envie de boire sa tisane dans le biberon de Paul mais l'envie, plus forte que la raison, elle va mettre sa tisane dedans. Après tout, elle ne fait de mal à personne.

Le film commence et Amandine est assise, les jambes écartées, une main tenant le biberon chaud qu'elle tète avidement et l'autre main caressant sa couche encore sèche. Elle regarde son film attentivement, quand soudain elle sent une forte douleur dans le bas-ventre, ça fait plus d'une heure qu'elle a envie de faire pipi et qu'elle se retient. Machinalement, elle se lève, commence à monter les escaliers pour aller aux toilettes, et réalise soudain qu'elle est langée, un peu honteuse, elle a tout de même envie de l'enlever et d'aller, comme une adulte, aux toilettes, puis souriant de son oubli, elle redescend dans le salon et décide de se comporter comme une e n f a n t .

Elle va faire pipi dans la couche. Elle tente de se laisser aller mais n'y parvient pas. Alors, elle décide de ne plus y penser et de continuer à regarder son film, au moins elle ne manquera aucun passage puisqu'elle n'aura pas besoin d'aller aux WC. Après un petit quart d'heure, l'envie de pipi est très forte, Amandine se relaxe, en s'asseyant bien comme si elle était sur les toilettes et laisse, en se décontractant, échapper un petit jet d'urine.

Elle caresse sa couche intensément, quel plaisir cette chaleur qui l'envahit, elle en laisse échapper un autre. Elle va remplir son biberon d'une autre tisane, et revient. Elle se rassoit et en tétant avidement, se laisse complètement aller dans sa couche en se caressant et elle laisse échapper un petit cris de plaisir.

Après l'émotion, elle réalise que sa couche est mouillée, elle regarde honteuse, quelques nounours virer au vert. Elle reste comme ça, quelques larmes coulant sur ses joues, et pour se consoler, elle tète davantage son biberon comme pour s'empêcher de pleurer. Elle n'y pense plus et continue à regarder son film. Elle se sent sèche mais a de nouveau envie de pipi, la tisane aidant et cette fois, sans honte, elle se laisse aller, inondant sa couche. Elle adore la sensation de sentir que l'urine coule sur son sexe et qu'une douce chaleur l'envahit. Amandine est à présent toute trempée, sa couche est lourde d'urine et tombe un peu.

Une fois son film finit, elle monte dans sa salle de bain s'observer dans la glace. Elle ne comprend pas, elle se trouve craquante avec cette couche mouillée sur les fesses, elle aime la sensation, elle prend le biberon et se le met dans la bouche, juste pour voir. Elle se trouve un peu ridicule mais si jolie avec cette couche mouillée, elle redescend dans le salon. Elle décide de se coucher plus tard qu'à l'ordinaire pour profiter de cette nouvelle sensation et réfléchir à tout ça. Elle regarde vaguement la télévision. Le port de la couche devient désagréable, l'urine s'étant refroidie, elle tente de faire pipi pour réchauffer un peu mais elle n'a pas envie, alors elle décide de l'enlever.

Elle monte, l'enlève, prend une douche, et là, a terriblement envie de sentir ce que ça fait de remettre une couche sèche, elle n'aura qu'à dire à Sophie que Chloé s'est beaucoup mouillée. Elle va dans la chambre de sa fille et, toute excitée, reprend une couche. Elle va s'allonger sur son lit, soulève ses fesses et glisse le change dessous, elle le rabat sur le devant de son sexe et apprécie cette délicieuse sensation.

Elle attache les adhésifs puis enfile son pyjama. Elle a un peu soif et va chercher machinalement le biberon de Paul, la couche fait un bruit caractéristique quand elle marche mais les e n f a n t s dorment, alors...Elle se refait une petite tisane parce qu'elle aime ça et qu'elle a peut-être l'espoir de mouiller sa couche de nouveau. Elle va s'allonger dans son lit, ferme la porte à clef, elle ne le fait que rarement, mais on ne sait jamais, et s'endort la couche aux fesses en tétant son biberon.

  • Allez les e n f a n t s, venez déjeuner.

La voix de Sophie réveille Amandine, il est 7h. Elle se demande si elle va faire la grasse matinée ou se lever maintenant, déjeuner avec les e n f a n t s et faire son jogging, elle hésite quand soudain elle prend conscience de sa tenue. Elle pensait avoir rêvé. Elle met une main entre ses cuisses et sent : une couche. Ses yeux se tourne vers le sol et il y a le biberon de Paul à moitié plein qui traîne par terre. Amandine se sent toute honteuse, elle commence à enlever la couche qu'elle porte.

Elle détache les adhésifs sans faire trop de bruit pour ne pas que Sophie entende. Mais comment se débarrasser de cette couche, pense t'elle, elle est sèche, ce serait dommage de la jeter mais je ne peux pas décemment la remettre dans l'armoire de Chloé. Elle ne sait plus quoi faire. De plus, elle ne peut pas la laisser dans sa chambre, Sophie fait le ménage à fond dans toutes les pièces le lundi. Car elle ne fait pas que la nounou, elle gère un peu la maison. Même au fond du placard ou sous le lit, elle la remarquerait. La mettre dans un sac plastique et la jeter, non, elle n'a pas été utilisée.

Amandine a le gaspillage en sainte horreur mais elle ne peut se résoudre à uriner dedans tant elle se sent honteuse de s'être réveillée comme ça. Ce sera la dernière fois. Cela dit, il faut bien trouver une solution alors elle remet la couche et se décide, elle la jettera dans une poubelle sur le trajet ou après son boulot si elle est mouillée, si non, elle verra bien pour l'instant il ne faut surtout pas que Sophie ou pire ses e n f a n t s la voit ainsi. Elle se rallonge donc, la couche aux fesses mais ne peut se résoudre à s'endormir.

  • Dis Sophie tu viens nous chercher à midi ?

  • Je ne sais pas Chloé.

  • S'il te plait, s'il te plait. D'accord mais c'est parce que tu as été sage cette nuit, je vois que tu es devenu une grande fille. Je penserai pourtant que la veille de la rentrée ta couche serait mouillée.

  • T'as vu, je ne suis plus un bébé, même plus la nuit.

  • Pourquoi que Chloé c'est plus un bébé ?

  • Eh bien Paul, parce qu'elle ne fait plus pipi dans ses couches.

  • Moi je suis un bébé ?

  • Plus pour longtemps mon grand, le rassura Sophie car Paul commençait à S a n g loter.

  • Mais, cela dit Chloé il ne faudra pas faire pipi au lit le week-end quand maman te change.

  • Je n'ai pas fait beaucoup.

  • D'accord on en reparlera. Maintenant dépêchez-vous il va falloir aller à l'école. Je vais réveiller maman, elle voulait t'accompagner pour ton entrée en CP.

  • Super, je vais la réveiller.

  • Non non tu finis de manger. Soyez sage, je reviens.

Amandine entend la conversation, elle est ravie que sa fille ne fasse presque plus pipi au lit car elle sait que ça lui faisait de la peine. Cependant avec toutes ses émotions, elle avait oublié la rentrée de sa fille, elle s'en veut et se lève en vitesse. Met un pantalon large par-dessus sa couche, aucune culotte propre n'est assez grande, met un long chemisier. Elle se sent un ridicule de porter une couche pour emmener sa fille à l'école et espère qu'aucun parent ne s'en rendra compte.

  • Amandine, c'est Sophie. Etes-vous réveillée.

  • Oui, Sophie, c'est bon.

  • Je vous sors une serviette de bain.

  • Non je prendrai ma douche ce soir, je ne veux pas être en retard pour la rentrée de Chloé.

  • Oh vous avez le temps.

  • J'aimerai être en avance vous comprenez.

  • Je vois. Je vous fais chauffer un café ?

  • Volontiers, j'arrive de suite Sophie. Merci.

Une fois qu'elle a entendu Sophie descendre, Amandine se précipite discrètement dans la salle d'eau pour regarder si on ne voit pas trop ce qu'elle porte sous son pantalon. Elle marche un peu, se baisse, s'assied. Elle trouve qu'on entend un léger bruit mais que ça ne se voit pas trop. Elle descend dans la cuisine et embrasse ses e n f a n t s.

  • Coucou mes amours.

  • Coucou maman, répondent t'ils en chœur.

  • Vous avez bien dormi.

  • Oh oui, et je n'ai pas fait pipi, annonce Chloé fièrement.

  • C'est bien ma grande.

  • J'ai bien dormi, j'ai pas fait un mauvais rêve, dit Paul rassuré.

  • C'est bien mon grand. Sophie t'emmène à la crèche aujourd'hui.

  • Non, en fait je pensais l'emmener au parc ce matin et acheter un autre cartable cet après-midi pour sa rentrée dans une semaine.

  • Pourquoi, il ne lui plait plus celui que je lui ai pris.

  • Si justement, rie Sophie, il lui plait trop et il l'a emmené partout durant les vacances et je crois qu'il ne fera pas l'année.

  • Ah oui, c'est vrai, s'amuse Amandine.

  • Allez Chloé va te brosser les dents, Paul monte, je te rejoins. Amandine, je voulais vous dire, j'ai vu que vous aviez acheté des paquets de couches pour Chloé, je crois qu'il serait bon de tenter de ne pas lui en mettre. Elle ne fait presque plus.

  • D'accord Sophie.

Amandine s'est senti rassurée, s'il n'y a plus de couches pour Chloé, elle ne sera plus tentée. Elle monte avec Sophie, aide Paul à se brosser les dents.

Amandine emmène Chloé à l'école. Elle veut absolument monter à l'avant : petite remontrance, petites larmes, un câlin et c'est fini. Arrivées devant l'école, elle descendent et vont voir la maîtresse. Il y a une petite réunion de prévue dans la salle de classe. Chloé court s'asseoir à côté d'une copine et laisse sa maman avec les autres parents. Amandine est gênée, elle ne cesse de penser à la tenue qu'elle porte, il lui semble qu'on ne voit que ça.

  • Asseyez-vous messieurs dames, je sais, c'est petit mais je vous assure que c'est solide.

Amandine s'assoie, un jeune homme d'une trentaine d'année la rejoint.

  • Bonjour, je m'appelle Daniel, je suis le papa d'Abygaëlle, l'amie de votre fille.

  • Ravie de faire votre connaissance.

  • De même.

-La réunion commence. Il s'agit de parler de la nécessité d'aider les e n f a n t s, comment les aider s'ils sont en difficulté, ce qu'il y a à faire et à ne pas faire s'il ne s'adapte pas etc. Amandine écoute, attentive, tout ça l'intéresse évidemment, quand soudain le café fait effet et elle sent une envie de faire pipi. Elle regarde les parents autour d'elle, le jeune homme lui sourit, elle répond les joues rouges de honte d'être sur un banc d'école et de savoir qu'elle va sûrement faire pipi dans une couche.

Les parents sont attentifs, posent des questions, ne semblent pas le moins du monde éprouver une gêne quelconque ni avoir envie d'aller aux petits coin. Amandine ne veut pas se laisser aller devant tout le monde si la couche fuyait ça serait un drame et puis ce serait la honte pour sa fille que sa maman ne sache pas se retenir. Le jeune homme à côté semble s'être rendu compte de son état et engage la conversation en chuchotant (Amandine se fait souvent accoster par des hommes, il faut dire qu'elle est grande, mince avec un sourire adorable. Ses cheveux sont courts mais beaucoup d'hommes semblent aimer ça) :

  • Vous avez envie d'aller aux toilettes ?

  • Oui mais ça peut attendre.

  • On ne dirait pas.

  • Je vous assure que si.

  • Ne vous fâchez pas, c'est histoire de parler.

  • Ecoutez je suis venue ici pour ma fille pas pour draguer.

  • D'accord excusez-moi j'essayais juste d'être gentil.

Amandine le sait et s'en veut un peu d'avoir parlé à cet homme sur ce ton d'autant qu'il est charmant. Une heure de passer, Amandine a cessé de se tortiller, elle écoute en essayant de ne pas penser à sa petite envie. Quand soudain un petit garçon pose une question si mignonne qu'elle en est amusante.

Tout le monde rit, Amandine part elle aussi dans un petit fou rire qui l'oblige à oublier de retenir sa vessie, elle cesse de rire car ce n'est pas un petit jet de pipi comme ça lui arrive parfois quand elle rie, elle avait tellement envie qu'elle s'est totalement soulagée. Par réflexe elle regarde son entrejambe, rouge de honte, mais rien, il n'y a pas de tâche, elle se sent juste toute mouillée et honteuse d'avoir mouillée sa couche dans une salle de classe derrière un petit bureau. Elle a envie de fuir et de se cacher.

Elle regarde autour d'elle, les rires se calment, personne n'a remarqué sa gêne. Amandine se rend soudain compte qu'elle prend plaisir à être dans cette situation, non seulement la couche humide lui procure une agréable sensation mais elle aime se sentir honteuse et aurait presque envie de dire à la maîtresse qu'elle s'est mouillée. Elle sourit à cette pensée, elle se voit levant le doigt : « Maîtresse, j'ai fait pipi dans la couche ». Heureusement, cette fois la raison est plus forte et elle se ressaisit. La réunion est finit, tant mieux car il lui semble qu'elle sent l'urine. Elle va embrasser Chloé qui est ravie de rester avec sa copine, salue la maîtresse et va voir le jeune homme : «Excusez-moi, je ne sais pas ce qui m'a pris tout à l'heure, je sais bien que c'était pour être gentil, je suis désolée d'avoir eu cette attitude.

  • Vous n'étiez pas dans le faux, rit t'il, je vous draguais.

  • Au moins, vous êtes franc, répond Amandine en riant.

  • Vous voulez dîner avec moi demain soir ?

  • Volontiers.

  • Alors devant Chez Jules à 20h.

  • Parfait, à demain.

  • A demain.

Amandine sourit, il lui plait cet homme, elle monte dans sa voiture, démarre et s'arrête un peu plus loin sur un parking avec des poubelles. Elle passe sa main dans sa couche, elle n'est pas très humide. Amandine sort de son sac une petite bouteille d'eau qu'elle emmène toujours partout avec elle et la boit en entier. Elle se sent un peu bête de faire ça. Elle tâte le dessus de sa couche, se caresse un peu.

Elle sort ensuite un livre et commence à le feuilleter, au bout de dix minutes environ, elle a très envie de pipi, elle commence à vouloir faire dans sa couche mais impossible, elle se met accroupi sur son siège en espérant que personne ne la verra mais elle n'y parviens pas, elle se rassoie et ne voulant pas attendre plus, s'installe bien droite sur son siège et tente de pousser très fort pour que l'urine sorte. Elle s'arrête soudain toute confuse, car c'est son anus qui commençait à se dilater et elle sentait qu'elle avait envie de faire la grosse commission. Elle voulut démarrer mais pour aller où, elle devait jeter cette couche sale.

Elle commence à l'enlever et puis arrête. Elle voit une petite cabine, ce sont les WC de la ville. Elle va pouvoir ôter sa couche discrètement d'autant qu'elle a pensé à emmener un sac plastique. Elle va pour sortir de la voiture mais elle s'arrête et si ... Si elle essayait, juste pour voir après tout elle n'est plus à ça près. Elle se rassied confortablement et pousse, elle sent que la masse chaude va sortir, elle se retient, elle ne peut pas faire ça.

Machinalement, elle met son pouce dans sa bouche, tète et pousse de nouveau. Elle sent que ça vient, ça y'es, ça s'étale sous ses fesses, c'est chaud, elle colle ses fesses contre le siège et bouge un peu pour que ça s'étale bien. Elle vient de faire caca dans sa couche, son pouce dans la bouche, elle se rend compte qu'elle trouve ça très agréable. Elle reste un peu comme ça, ferme les yeux et se laisse aller à faire pipi tout naturellement. Avec sa main libre car elle suce toujours son pouce, elle se caresse au dessus de sa couche, de plus en plus vite, elle ressent un plaisir intense et une autre miction vient se loger sous ses fesses. Elle jouit.

Quand elle revient à la réalité, elle arrête de téter son pouce et sens que sa couche est pleine. Elle remonte son pantalon, regarde le siège, il y a une petite tâche d'urine, ça aura le temps de sécher. Elle se précipite dans les toilettes, enlève son pantalon, détache les adhésifs de la couche qui tombe lourdement sur le sol. Elle la met dans le sac plastique, le ferme. Et là elle se sent ridicule, à 27 ans, maman de deux e n f a n t , elle vient de s'enlever une couche sale et a les fesses pleine de caca alors que sa fille de six ans ne fait même plus pipi au lit. Elle prend du papier toilette, heureusement, il y en a, et s'essuie du mieux qu'elle peut. Elle remet son pantalon, jette le sac plastique et remonte dans la voiture. Il est déjà onze heures, elle rentre chez elle, Sophie est parti chercher le pain pour le midi.

Elle se déshabille rapidement en bas, met son pantalon dans un sac poubelle, met un peignoir et sort le mettre dans le vide ordure puis elle court dans la salle de bain. Elle verrouille la porte et là elle ne peut s'empêcher de se regarder dans le miroir. Il y a encore du caca sur ses jolies fesses et elle sent qu'une odeur nauséabonde émane d'elle mais loin d'être honteuse, elle remet son pouce dans sa bouche et s'observe. Elle entend la porte alors elle se précipite sous la douche et se frotte jusqu'à en être rouge. Elle sort, ouvre la fenêtre en grand, se parfume, va dans sa chambre s'habiller, chemisier et jupe longue, et descend.

  • Amandine.

  • Oui Sophie.

  • J'ai trouvé le biberon de Paul dans votre chambre, il était par terre, j'ai utilisé le stérilisateur pour le laver.

  • Très bien Sophie, répondit Amandine confuse et cherchant une explication.

  • Pourquoi était-il dans votre chambre.

  • Oh c'est tout bête, j'ai entendu Paul pleurer, je suis allée le voir et il avait soif, je lui ai donné son biberon et j'étais un peu fatigué donc au lieu de lui laisser, je suis partie avec.

  • D'accord.

  • Bon moi j'y vais.

  • Vous ne mangez pas ?

  • Non, je dois arriver plus tôt au bureau aujourd'hui mais ce soir je dîne avec les e n f a n t s. Demain soir, ne préparez rien pour moi j'ai un rendez-vous galant, dit Amandine amusée.

Amandine est soulagée d'avoir un peu d'imagination. Elle part au travail toute pensive. Que lui arrive t'il ? Elle se prend un sandwich sur le chemin et arrive à son travail. L'après-midi se passe bien, elle va aux toilettes une fois par heure. Vers 18heure, elle finit à 19h, elle s'y rend un peu précipitamment car à 17heure elle a bu un café avec des collègues et comme il fait toujours chaud elle boit beaucoup d'eau. Elle s'enferme dans les toilettes et là, sans pouvoir se retenir, elle fait pipi dans sa culotte. Elle sent l'urine lui couler le long des cuisses et l'entend tomber V i o l emment par terre. Elle ne sait plus où se mettre. Elle a ressenti un tel plaisir à ne pas pouvoir se retenir et à faire dans sa culotte comme une gamine, mais là elle ne sait pas quoi faire. Elle se recule un peu et voit une mare de pipi par terre. Elle s'assoie sur les toilettes et se met à pleurer de honte.

  • Amandine, Amandine ça va ? Ca fait au moins un quart d'heure que t'es là-dedans, lui demande Hélène, une de ses collègues et amie.

  • Ca va, S a n g lote Amandine.

  • T'as des problèmes ?

  • En fait j'en ai un.

  • Tu sais ce n'est pas la solution de s'enfermer dans les toilettes pour pleurer, tu devrais en parler.

  • Amandine voit ici l'occasion de se comporter en petite fille et ça lui fait envie, l'occasion de ce matin se reproduit.

  • Ce n'est pas ce que tu crois.

  • Qu'est- ce que c'est alors ?

  • Je n'ai pas pu me retenir, pleure t'elle doucement.

  • Comment ça ?

  • J'ai fait pipi à la culotte, S a n g lote Amandine tout excitée en caressant son entrejambe trempé.

  • Ah ok, euh, attends, je vais chercher une serpillière par contre, je n'ai pas de sous-vêtements de rechange. Tu veux que je demande aux autres, il y en a qui font du sport et qui ont des affaires de rechange.

  • Oui je veux bien, répond Amandine sans honte.

  • Je ne dirai pas pourquoi.

  • Tu peux si tu veux sinon elles se demanderont ce qui se passe. Tu penses qu'elles vont se moquer de moi ?

  • Non ne t'inquiètes pas.

  • Merci.

  • Je reviens.

  • OK.

Amandine se sent bizarre, à la fois ridicule et enjouée. Tout le monde va savoir qu'elle a fait pipi par terre et ça lui plait.

  • Amandine.

  • Oui ?

  • C'est bon, il y a Julie qui m'a passée son string et un pantalon de jogging. Ta jupe est mouillée ?

  • Amandine se rend compte que non et s'assoie dans la mare de pipi.

  • oui, un peu, dit-elle innocemment.

  • ok je te passe ça, tu peux ouvrir la porte, il n'y a personne.

  • Amandine se lève et ouvre les yeux rouges.

  • Eh bien ! Ne peut s'empêcher de s'exclamer sa collègue, pardon, je veux dire, ma pauvre.

  • Je ne comprends pas ce qui s'est passé, j'ai eu très envie et puis arrivé là je n'ai pas pu me retenir.

  • Ça t'était déjà arrivé.

  • Non, c'est la première fois.

  • Sauf quand tu étais petite, sourit Hélène pour détendre l'atmosphère.

  • Oui c'est vrai, réplique Amandine en riant trop heureuse de la comparaison.

  • Tiens je t'ai justement amené un sac plastique, s'amuse Hélène, tu ne va pas te faire gronder j'espère.

  • Peut-être s'amuse Amandine.

  • Allez change toi et au boulot, reprend Hélène sérieuse.

  • OK à tout de suite.

Amandine lave le sol, se change et va rincer et remettre la serpillière à sa place. Elle revient à son bureau en tenant son sac plastique avec ses vêtements plein de pipi à la main.

  • C'est bon, il te va mon jogging ?

  • Oui merci Julie, je suis désolée.

  • C'est pas grave tu me le rendras demain. De toute façon je n'avais pas trop envie d'aller faire du sport ce soir.

  • OK, merci quand même.

Il est 19h, Amandine rentre chez elle, elle laisse le sac dans la voiture.

  • Coucou les e n f a n t s, Bonsoir Sophie.

  • Bonsoir. Vous aviez mis un jogging pour aller au travail ?

  • Non pas du tout mais j'ai renversé ma tasse de café sur moi alors voilà.

  • Où sont vos vêtements.

  • Mince je les ai oublié dans mon casier.

  • Ca va sentir bon le café dans votre agence, rie Sophie.

  • Oui, dit Amandine en riant aussi.

Chloé raconte sa première journée en CP, Paul raconte la sienne. Amandine aide Sophie à les coucher. Elle va pour langer Chloé.

  • Non maman, je suis une grande, je n'en ai plus besoin.

  • Ah oui ma puce, c'est vrai. Je suis fière de toi.

  • A demain maman.

  • A demain ma belle. »

Amandine dit à Sophie qu'elle va se coucher. Sophie s'en va. Cependant quelques heures plus tard, Amandine ne résiste pas à aller dans la chambre de Chloé et à lui prendre une couche. Elle la jette sur son lit et descend dans la cuisine. Elle prend le vieux biberon de Paul qu'elle sait ranger au fin fond d'un placard, met de la tisane. Prend également avec une ancienne de tototte de Chloé qui n'a pas été utilisée depuis des lustres, elle la lave. Elle se prend de grandes bouteilles d'eau et monte dans sa chambre. Elle boit une demi bouteille d'eau. Enlève le jogging et met un pantalon à elle.

Elle prend un livre et dès qu'elle sent l'envie de faire pipi, elle se lève et court dans la salle de bain avec le reste de la bouteille d'eau. Elle se regarde dans le miroir, bois encore jusqu'à temps d'avoir très envie et une fois que sa vessie est pleine elle laisse sortir un jet puissant et fait pipi dans son pantalon, elle prend son pouce et se regarde satisfaite. Une énorme tâche sombre est apparue à l'avant et à l'arrière de son jean, elle est ravie.

Elle l'enlève et le met volontairement dans le panier à linge sale, elle a envie de se faire surprendre, elle veut que Sophie sache qu'elle devra s'occuper d'un troisième e n f a n t de temps en temps car elle veut avant tout rester une bonne maman pour ses bambins. Elle enlève le string trempé, elle ignore si elle aura envie de dire à Julie qu'elle a uriné dans son string en lui en tendant un neuf. Elle met aussi son chemisier et son soutien-gorge à laver. Elle prend un peignoir et va dans sa chambre. Elle ferme à clef, Sophie ok mais il ne faut évidemment pas que ses e n f a n t s la voient. Elle s'allonge sur le lit, glisse le change sous ses fesses, attache les adhésifs avec difficulté mais y parvient. Elle se met en pyjama.

Elle choisit celui avec un nounours, pas un sexy, prend son ensuite son bouquin tout en buvant la tisane. Elle ne s'endort pas, trop excitée par ce que va dire Sophie le lendemain. Etant arrivée en avance à l'agence aujourd'hui, elle partira une heure plus tard demain matin et aura le temps de voir Sophie alors que Chloé sera à l'école et Paul à la crèche. Après le biberon, elle boit la bouteille d'eau doucement mais en entier et continue à lire. Une fois la bouteille finit, elle s'empare de la tototte et se la met dans la bouche. Elle la tête goulûment, elle met son livre par terre, éteint la lumière et s'endort une main sur sa couche et une tétine dans la bouche.

Amandine se réveille, il est 5h du matin et elle a très envie de faire pipi. Elle n'a plus la tototte dans la bouche mais se rend compte qu'elle a une couche. Encore une fois elle pensait avoir rêvé, elle s'en veut un peu et se dit qu'il faut qu'elle arrange tout avant demain matin, elle a le temps de jeter le pantalon, d'enlever la couche et de la jeter aussi. Elle se lève en souriant à ce qu'elle a failli oser. Elle va pour sortir de sa chambre, ah oui, c'est fermé à clef. Elle les cherche, elles sont sur la table de nuit, elle commence à ouvrir la porte et là, une source de chaleur l'envahit, elle est en train d'inonder sa couche.

Elle se caresse, ne sait pas trop quoi faire. Elle a encore un peu envie. Elle va s'allonger pour apprécier la sensation, oubliant ce qu'elle voulait faire, elle essaie de faire pipi couchée mais elle n'y parvient pas, elle se met sur le ventre, elle n'y arrive pas. Elle s'assoie sur son lit et réussi à faire quelque jet qu'elle essaie d'arrêter ne sachant où cela va la mener, puis elle lâche tout dans sa couche qui a résisté. Ses émotions l'ont fatiguée, elle reprend la tototte comme un réflexe et se rendort.

  • Debout Chloé. Allez lèves-toi. Qu'est-ce qu'il y a ?

  • J'ai fait pipi au lit.

  • Ce n'est rien, ça arrive, je vais changer les draps et cette nuit tu redormiras sans couche.

  • Ah, j'ai eu peur que tu m'en remettes si je n'étais pas sage.

  • Ce n'est pas de ta faute.

Amandine s'est réveillée et a tout entendu. Elle commence à se lever et se sentant mouillée elle se souvient de sa situation. Elle touche la couche : trempée. Il y a une énorme auréole de pipi sur son pyjama, elle saute hors du lit, et là, ça ne fait aucun doute, tout est à changer. Elle a refait pipi en dormant, sans s'en rendre compte. Elle avait beaucoup trop bu, c'est un accident pense t'elle. Mais elle se dit qu'elle aurait du moins s'amuser à faire dans sa couche comme ça elle n'aurait pas été mouillée. Là elle se sent bête, elle ne devrait même pas songé à porter des couches. Elle se lève et va se voir dans le miroir de sa chambre, la couche est lourde d'urine et tombe un peu, ça se voit très bien au travers de son pyjama. Elle ne peut s'empêcher de se dire que ça fait très petite fille.

Elle regarde les nounours devenu verts avec fierté. Elle entend que Sophie est partie emmener les e n f a n t s. Amandine doit se lever à 9h pour être à 10h à son travail. Sophie va revenir vers 8H50, alors elle déverrouille la porte, va boire deux grands verres d'eau dans la cuisine, remonte, remet la tototte dans sa bouche et se rallonge. Elle a peur de se faire gronder ou sermonner : « Une bonne mère n'agit pas comme ça, c'est irresponsable ! Quelle image vas-tu leur donner ? Comment t'occuper d'eux si tu te comportes comme un bébé ? »

Cette dernière remarque faite à elle-même l'excite : « se comporter comme un bébé ». Le pensant, elle le fait, les verres d'eau faisant effet, elle mouille sa couche de plus belle et sent bien que ça traverse, elle se sent toute trempée et tète avidement sa tototte. Elle ne parvient pas à se rendormir alors elle fait semblant.

Elle entend la porte, Sophie rentre. Elle va chercher le linge à laver, car elle met à en route à 9h. Amandine n'entend aucune remarque que Sophie se ferait à elle-même en constatant l'état du pantalon d'Amandine.

  • 9h « Amandine, réveillez-vous, vous allez être en retard et pensez à vous faire belle pour votre dîner de ce soir.

Mince Amandine avait totalement oublié mais elle ne dit rien, elle s'obstine à faire semblant de dormir, la peur au ventre. Elle remonte sa couette jusqu'à mi-tête mais elle sait qu'il est bien trop tard pour faire marche arrière, elle aimerait tant et en même temps, elle est si excitée.

  • Amandine, vous êtes réveillée ? Etes-vous là ?

Sophie frappe à la porte. Comme personne ne répond elle entre.

  • Houlà, ça sent mauvais ici, dit Sophie en allant ouvrir volet et fenêtre. Amandine, réveillez-vous enfin vous allez être en retard. Mais qu'est-ce que ça sent ici ? Amandine, êtes-vous malade ? »

Sophie s'approche du lit, et tire la couette juste pour découvrir le visage d'Amandine, elle recule interloquée de voir une tototte dans la bouche de sa patronne.

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